Collège fermé, pourquoi? comment?
Publié : mer. avr. 09, 2025 9:48 am
On pose souvent la question, comment un collège iconique comme Samuel Moorat à Sèvres a pu fermer ses portes définitivement, alors que les élèves venaient de la région parisienne et de Lyon, Valence, Marseille, de Turquie et d’ailleurs selon les années, cela à une époque ou les écoles arméniennes d’Alfortville, Lyon, Valence, Marseille et Nice n’existaient pas.
La réponse paraît évidente, elle me fait peur et m’attriste.
Une gestion catastrophique, un manque de compétence évident, peu d’implication de la direction dans les dernières années, avec un refus absolu d’un partenariat avec l’état, et pour cause.
Il y a quelques années, Venise avaient déjà appelé les anciens élèves au secours, mais trop tard, et sans vouloir appliquer la gestion qui aurait peut-être pu « sauver les meubles » .
Aujourd’hui, on redonne la gestion de ce collège à des personnes qui n’ont aucune expérience de gestion, qui ont montré leurs incompétences en la matière et qui n’œuvrent pas forcément pour la communauté arménienne, quant à respecter les vœux de Samuel Moorat et Moorat Raphael, il faudrait les mettre sur le compte « pertes et profits ».
On confond à dessein ou pas les termes de dépositaires et propriétaires.
A cette allure tous les biens des mekhitaristes sont en danger, mais il est utile de rappeler que tous ces biens sont le fruit de dons des Arméniens et qu’en définitive, ils appartiennent à la communauté arménienne et n’ont pas vocation à enrichir une autre institution qui semble être discrètement, voir secrètement à la manœuvre.
La réponse paraît évidente, elle me fait peur et m’attriste.
Une gestion catastrophique, un manque de compétence évident, peu d’implication de la direction dans les dernières années, avec un refus absolu d’un partenariat avec l’état, et pour cause.
Il y a quelques années, Venise avaient déjà appelé les anciens élèves au secours, mais trop tard, et sans vouloir appliquer la gestion qui aurait peut-être pu « sauver les meubles » .
Aujourd’hui, on redonne la gestion de ce collège à des personnes qui n’ont aucune expérience de gestion, qui ont montré leurs incompétences en la matière et qui n’œuvrent pas forcément pour la communauté arménienne, quant à respecter les vœux de Samuel Moorat et Moorat Raphael, il faudrait les mettre sur le compte « pertes et profits ».
On confond à dessein ou pas les termes de dépositaires et propriétaires.
A cette allure tous les biens des mekhitaristes sont en danger, mais il est utile de rappeler que tous ces biens sont le fruit de dons des Arméniens et qu’en définitive, ils appartiennent à la communauté arménienne et n’ont pas vocation à enrichir une autre institution qui semble être discrètement, voir secrètement à la manœuvre.